Focus sur…
Mathilde Beauvois
Galerie Parallax
Tout commence par des couleurs. Elles sont soigneusement composées à partir d’acrylique, de pigments et différents liants. Appliquées recto/verso sur de large surface de coton, la palette se veut tendre mais la composition est brutale : au sol, sur des bâches, avec des brosses. De ces couleurs existantes un mouvement est initié dans une volonté d’inachevé.
Chloé Berrady
Galerie Nea
Pour son thé à la menthe et sa mémoire mosaïque, Chloé Berrady croise traits de crayon, aquarelle, acrylique, feutre, paillettes, fils de chanvre ou de soie, et tissus. L’artiste tisse sa toile, ses racines, son histoire multicolore.
Noé Cambon
Espace KM
Dans ses protocoles de création, Noé Cambon travaille sur une forme d’adaptation au monde en jouant de l’espace, du mobilier et des règles établies ou non, souvent dans le but de vivre plus instinctivement. Ici 2 photographies de La Croix de Provence sur le massif de la Sainte Victoire. Cet endroit est le refuge de l’artiste. Il est le premier témoin de son évolution.
Zoé Hamou
Galerie Ars Longa
Les peintures de Zoé Hamou évoquent ses voyages, ses déplacements, gardant trace de ces moments oubliés du quotidien et signifiant l’importance d’une communauté artistique internationale. L’artiste questionne la notion de transition en nous invitant à nous attarder sur les lieux de passage…
Louise Lett
Gallifet Centre d’art
La jeune diplômée de l’ESA Le 75 en photographie documentaire à Bruxelles ainsi que de l’ESAAIX explore, à travers l’image photographique, les transitions urbaines et sociales. Chaque image entre en dialogue avec la matière et le procédé d’impression employé. Louise Lette expérimente notamment des techniques de fragmentation et de déformation. Elle invite ainsi le spectateur à redécouvrir la ville, tout en questionnant notre façon de la percevoir et de l’habiter.
Lyne Salvy-Demoulin
Galerie Maison Dauphine
Lyne a appris la peinture japonaise traditionnelle (Nihonga) à l’occasion d’un apprentissage de 9 mois dans une université japonaise. De retour en France, elle continue d’employer ces techniques à base de pigments et colle naturels, de coquillages, de feuilles de métaux précieux et de réactions chimiques. L’artiste évoque ici la jeunesse, les relations affectives, les souvenirs et le temps qui passe.